Big Chemical Encyclopedia

Chemical substances, components, reactions, process design ...

Articles Figures Tables About

Pour point, definition

Petroleum becomes more or less a plastic solid when cooled to sufficiently low temperatures. This is due to the congealing of the various hydrocarbons that constitute the oil. The cloud point of petroleum (or a product) is the temperature at which paraffin wax or other solidifiable compounds present in the oil appear as a haze when the oil is chilled under definitely prescribed conditions (ASTM D2500, D3117). As cooling is continued, petroleum becomes more solid, and the pour point is the lowest temperature at which the oil pours or flows under definitely prescribed conditions when it is chilled without disturbance at a standard rate (ASTM D97). [Pg.44]

Pour point the lowest temperature at which oil will pour or flow when it is chilled without disturbance under definite conditions. [Pg.336]

Lubricant base oils must meet minimum performance characteristics of viscosity, viscosity index, pour point and volatility, all of which must meet required standards. When dealing with re-refined base oils, additional characteristics such as colour and odour must also be considered. These properties, of dark colour and odour, are readily perceived by customers and consumers as representing deficiencies in quality. Many examples of re-refined base oils have a definite, characteristic, oxidised or cracked odour which may be totally unacceptable in some countries and markets. Table 15.2 gives quality guidelines for the acceptance of re-refined 150 and 500 base oils. [Pg.442]

IX 1.0. Nous appellerons schema de Krull un schema qui admet un recouvrement par des ouverts affines, spectres d anneaux de Krull (Bourbaki, alg. com. chap. VII 1). Si A est un anneau de Krull, on sait (loc. cit.) que le localise de A par une partie multiplicative, 1 anneau des polynSmes A[T], et le normalise de A dans une extension algebrique finie du corps des fractions de A, sont des anneaux de Krull. II en resulte que si S est un schema de Krull, tout schema X lisse sur S est un schema de Krull de plus, les points de codi— mension 1 de X sont les points de codimension 1 des fibres maximales de X et les points maximaux des fibres de X au-dessus des points de codimension 1 de S. Proposition IX 1.1. Soient S un schema, X un S-schema lisse sur S, h fibres connexes, I un S-schema localement de type fini, e S —> X et 6 S — I. deux S-sections, f une S-application rationnelle de X dans I, U son domaine de definition. On suppose que pour tout point x de... [Pg.126]

Definition XI 1.2. Soient S un schema intfegre, de point generique 1, G un S-schema en groupes, lisse sur S, k fibres connexes. Nous dirons que G satisfait k la propriete (A) si, pour tout faisceau inversible, symetrique sur G qui est ample (resp. qui est engendre par ses sections), il existe... [Pg.159]

The water solution of a salt, in the presence of this solid salt gave us a first example of a bivariant system. For another, consider a definite mass of ether into which it poured increasing quantities of water the first quantities of water poured in mix completely with the ether but beyond a certain point the mixture divides into two layers, an upper one richer in ether and a lower richer in water we therefore have to do with a S3rstem formed of two independent components, ether and water, and divided into two phases, the two superposed liquid layers such a system is bivariant and if the temperature and pressure rest constant, the composition of the two liquid layers will remain invariable as water is little by little added to the mixture, we see the upper mass decrease and the lower mass increase, but neither the concentration of the upper nor of the lower layer undergoes any change up to the moment when enough water has been added to cause the upper layer to disappear the S3rstem will then cease to be bivariant. [Pg.115]

Remarque 3.6. ProcEdant comme k la fin de la remarque 1.7, on dEfinit, pour tout foncteur F (Sch)°—(Ens), un "ensemble sous-jacent" ens(F) comme un ensemble quotient de l ensemble des points de F a valeurs dans des corps (pour la relation d Equivalence precisEe dans 1.7 ) Lorsque F est representable par X, on retrouve bien l ensemble sous-jacent a X. Evidemment ens(F) dEpend fonctoriellement de F, done si G - F est un morphisme de foncteurs, on pourra dire que ce morphisme est ensemblistement surjectif si Implication induite ens(G) - ens(F) est surjective. Cela signifie done aussi que tout point de F k valeurs dans un corps k "provient" d un point de G k valeurs dans une extension convenable de k. Cette definition s Etend aussit t au cas d une famille de morphismes G -> F, ce qui prEoise la signification de c). ... [Pg.145]

Commengons par transformer la definition du foncteur tr. Pour cela, notons que le normalisateur de Q dans G est representable par un sous-pr sch6ma en groupes H de presentation finie sur S (S. savoir l image reciproque du point Q de Pn(s) par le morphis-me ... [Pg.413]

En effet, avec les hypotheses faites, pour qu un S-morphisme de groupe u M —> U soit 1 homomorphisme unite, il suffit que la restriction de u aux fibres de M au-dessus des points de S soit le morphisme nul (Exp. IX 5 2 ). Nous sommes done ramenes au cas ou S est le spectre d un corps,que l on peut supposer de plus algdbri-quement clos. Vu la definition 1.1, on peut se borner a U = G, ... [Pg.541]

Notons pour terminer que I on a besoin du support Z pour definir la classe c hP(xX s,), mais que reciproquement la classe determine une trace pour chaque projection locale (2.1.3), et que la connais-sance de ces traces determine le support (1.6.4) ceci justifie la propriete "non nulle aux points generiques des composantes irreductibles de Z" dans la definition des classes de Chow. [Pg.79]

Soit done (lzl,c ) un element de c5(S). II nous faut montrer que c est la classe fondamentale d une famille analytique locale g s s a support dans Izl. Comme precedemment, par definition des classes fondamentales relatives, ([e] 2, Definition 1), on peut supposer que S est un point. Pour toute projection (U,B,f), on a encore un morphisme B Symg(U) qui determine un cycle Z u a support dans Izl. De plus ce cycle est determine par les multiplicites donnees aux differentes composantes irreductibles de Izl. II est done determine par la valeur du morphisme B Synig(U) au point generique. II est done independant de la projection (U,B,f) choisie (on est ramene a la dimension n=0, et une classe appartenant a H (X,< ) verifiant (4.1.1) est la donnee d un point de Sym (U)). Soit c la classe fondamentale de Z. En... [Pg.97]


See other pages where Pour point, definition is mentioned: [Pg.496]    [Pg.981]    [Pg.49]    [Pg.753]    [Pg.38]    [Pg.229]    [Pg.300]    [Pg.4]    [Pg.114]    [Pg.131]    [Pg.61]    [Pg.477]    [Pg.4]    [Pg.191]   
See also in sourсe #XX -- [ Pg.400 ]




SEARCH



Pour point

Pouring

© 2024 chempedia.info